Les murailles s’élèvent jusqu’au bastion Saint-Jean, situé à une altitude de 280 mètres au-dessus de la ville et du niveau de la mer. Il faisait très chaud alors nous n'avons pas eu le courage de monter jusqu'au point culminant. Nous nous sommes contentés de flâner dans les rues.

A kotor, initialement, il y avait plus de catholiques que d'orthodoxes. Aujourd'hui ce sont les orthodoxes les plus nombreux mais en revanche le nombre d'églises catholiques reste le plus important. 

Parmi ces églises, il y a la cathédrale catholique Saint-Tryphon, elle date de 1166, endommagée par les différents tremblements de terre, elle a été entièrement restaurée après celui de 1979. En 2009, la pape Benoît XVI a déclaré la cathédrale St Tryphon basilique papale pour l'année entière. 

Il y a aussi l'église Saint Luc construite en 1195, elle est catholique au départ. Elle fut ensuite ouverte aux orthodoxes en 1657. Elle dispose ainsi de deux autels l'un catholique et l'autre orthodoxe et les fidèles des deux confessions viennent s'y recueillir. 

Ou encore l'église Saint Nicolas beaucoup plus récente puisqu'elle date de 1909, c'est la cathédrale orthodoxe de Kotor. Le drapeau de l'église orthodoxe serbe orne sa façade en permanence.  

En continuant on découvre la place la plus grande de Kotor, c'est la place d'armes où se trouve le clocher de l'horloge. On débouche sur cette place par la porte de la mer. 

La tour de l'horloge penche légèrement en raison du tremblement de terre de 1979, mais ce n'est pas très visible et encore moins sur les photos qui suivent. 

Au pied de la tour de l'horloge, on peut voir une construction pyramidale qui servait de pilori à l'époque médiévale. 

Après cette visite de Kotor et avant de rentrer à notre appartement nous sommes allés nous rafraîchir sur l'une des plages qui se trouve sur la péninsule de Lustica.